C'est le tout nouveau double album d'IQ, groupe de rock progressif qui a débuté dans les années 80. Il bénéficie d'un son et d'une production superbe. A l'écoute, malgré tout, seuls "The road of bones" et "Constellations" m'ont vraiment accroché. Le reste de l'album est sympa mais je le trouve un peu hermétique, c'est bien dommage.
Je connais le premier album solo de David Gilmour depuis très longtemps, puisque je l'avais acheté en 1984. A l'époque il ne m'avait pas vraiment emballé, et j'ai décidé de le réécouter cette année. Je ne me souvenais d'aucun titre, et cette fois-ci, trois titres sortent du lot : "There's no way out of here", "So far away" (belle ballade au piano) et "Raise my rent". Ce ne sont pas des chansons extraordinaires mais elles se laissent écouter. Le reste de l'album est cependant peu intéressant. Dommage pour quelqu'un qui a écrit un titre aussi magnifique que "Dogs" !
Laura Veirs a sorti en 2007 un bon album dans la lignée de "Carbon glacier". "Nightingale" et "Saltbreakers" sont les titres phares. L'instrumentation est de plus en plus variée. C'est un album à recommander fortement !
C'est l'album du succès pour Gordon Lightfoot, qui officie depuis le milieu des années 60. L'album s'est d'abord appelé "Sit down young stranger" avant de prendre le titre de la chanson titre qui a eu du succès aux Etats-Unis et au Canada. On note une reprise de Kris Kristofferson, mais la version de Janis Joplin est meilleure. Par contre, le titre magique, c'est "Saturday clothes", une chanson magnifique qui m'a fait découvrir cet artiste. Le reste de l'album a cependant un peu mal vieilli à mon goût.
Album magistral du groupe progressif suédois, avec "Without saying anything" qui est une des meilleures chansons que j'ai écoutée cette année. Notons également "And the stone said: if I could speak", superbe titre épique de 15 minutes, "Akakabotu", instrumental clinquant, et "Outside / Inside", magnifique petite pièce au piano. Retrouvez ma chronique complète de cet album sur ce blog en cliquant ici.
Après cinq ans d'absence, les Flower Kings reviennent avec un bel album de rock progressif inspiré. Il ne faut pas manquer le premier titre, de 25 minutes, "Numbers", grandiose, ainsi que "For the love of gold". Par contre, les titres bonus sont hautement dispensables (sauf "No lines", qui est un bon rock).
Encore une grande déception que cet album de King Crimson, qui n'est sauvé que par le titre "Book of Saturday". Le reste n'est que chansons moyennes ou instrumentaux expérimentaux vraiment ennuyeux. Il faudra attendre "Red" pour avoir un bon album de ce groupe.
L'album commence sympathiquement avec un titre original et marrant, "Neon beanbag". Pour le reste, ils n'évitent pas la redite et cela sonne comme du déjà vu, mais reste quand même sympa ("Three women", chanté en français).
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